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Mere Teresa, Discours à Oslo, 10 décembre 1979.
1. Quels procédés Mère Teresa utilise-t-elle pour insister sur la misère des pauvres ?
2. Identifiez les passages de récit dans le discours de Mère Teresa. A quoi servent-ils ?
3. Quel effet présente la répétition de l'expression aimer à en avoir mal »? Quels champs lexicaux sont ainsi
associés?
4. Quel est, selon elle, le droit le plus fondamental d'un être humain? Sur quelles valeurs humaines ce droit repose-t-
a?
Merci beaucoup


Répondre :

Réponse :

Procédés pour insister sur la misère des pauvres :

Mère Teresa utilise plusieurs procédés pour mettre en évidence la misère des pauvres dans son discours. Elle recourt à des descriptions poignantes et des images évocatrices qui suscitent la compassion du public. Des termes forts tels que "la faim", "la solitude", "le froid" sont employés pour évoquer la détresse des personnes dans le besoin. Elle peut également utiliser des statistiques ou des exemples concrets pour rendre la réalité de la misère plus tangible.

Passages de récit dans le discours :

Mère Teresa intègre probablement des passages narratifs pour illustrer ses points et rendre l'expérience des pauvres plus concrète pour son public. Ces récits peuvent inclure des anecdotes personnelles, des rencontres avec des personnes dans le besoin, ou des situations qui reflètent la réalité difficile à laquelle elle fait face. Les passages de récit servent à humaniser la misère, à rendre les situations plus palpables et à émouvoir le public pour susciter une réaction et une action.

Effet de la répétition de l'expression "aimer à en avoir mal" :

La répétition de l'expression "aimer à en avoir mal" renforce l'idée que l'amour véritable implique un engagement profond et parfois douloureux envers les autres. Cela souligne le sacrifice personnel que Mère Teresa est prête à faire au nom de l'amour et de la charité envers les pauvres. Les champs lexicaux associés à cette expression peuvent inclure la souffrance, la compassion, l'engagement et l'amour inconditionnel.

Droit le plus fondamental d'un être humain et valeurs associées :

Selon Mère Teresa, le droit le plus fondamental d'un être humain est le droit d'être aimé et reconnu en tant qu'individu. Ce droit repose sur des valeurs humaines telles que la dignité, la compassion, l'amour et le respect. Elle insiste sur l'idée que chaque personne, peu importe sa situation sociale ou économique, mérite d'être traitée avec dignité et affection. Ces valeurs humaines forment la base de son plaidoyer en faveur de l'amour et du service envers les plus démunis.