Réponse:
J'aime contempler la sinistre hyène, créature nocturne au pelage ébène, Son rire lugubre résonne dans la nuit, une mélodie macabre qui s'enfuit. Sous la lueur de la lune pâle, elle déambule, silhouette fantomatique, Son allure effrayante cache une âme mystique.
Dans les yeux de la hyène, une lueur d'intelligence, une cruauté en transparence, Son pelage hirsute évoque les ombres, une symphonie de ténèbres sombres. Les cicatrices de la vie marquent sa peau, témoins de batailles dans l'ombre, Mais dans sa laideur, une beauté singulière, une grâce cachée dans la noirceur.
Elle incarne le paradoxe de la nature, une créature jugée de mauvaise augure, Pourtant, derrière son masque de terreur, une complexité qui suscite la ferveur. Sous la lueur des étoiles, la hyène danse, une danse macabre, une transe, Et dans son regard, une énigme à déchiffrer, une invitation à explorer.
Ainsi, à la manière de Victor Hugo,
la hyène dévoile sa part de mystère,
Un être repoussant qui cache une essence à la fois étrange et sincère.
