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Bonsoir,

Pouvez m’aider svp à faire ces exercices, niveau 4ème collège ?

En vous remerciant et vous souhaitant un bon we !


I) Indiquez s’il s’agit de phrases simples ou complexes. Justifiez votre réponse.

1. Sous les toits de Paris vivait un peintre dont le talent était inégalé.
……………………………………………………………………………………………………….
2. Une passante suffit à détruire sa vie, à rendre fade, à tuer son coeur.
……………………………………………………………………………………………………….
3. La passion dévorait notre peintre, il était méconnaissable.
……………………………………………………………………………………………………….

II) Encadrez chaque proposition à l’aide de crochets puis indiquez leurs natures :

1. Dimitri était subjugué, le simple souvenir de sa chevelure le rendait
fou.……………………………………………………………………………………………………
2.Les reflets roux qui s’en étaient échappés avaient ensorcelé son
âme.…………………………………………………………………………………………………

3. Il était fou d’elle, et elle ne le saurait
jamais.…………………………………………………………………………………………………
…….
4. Elle était sa muse mais il était désemparé face à son souvenir.
……………………………………………………………………………………………………….
5. Il maudissait ses mains dont les doigts étaient incapables de retranscrire sur une toile
cette apparition.
……………………………………………………………………………………………………….
III) Transformez ce couple de phrases simples en phrases complexes en employant
les trois moyens différents possibles.

Dépêche-toi de rentrer. Il est tard.
a………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………….
b……………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………
c ……………………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………

IV) Soulignez les phrases simples et placez entre crochets les phrases complexes.

Le jour, je m’égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts. Qu’il fallait peu de
choses à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane
dont la fumée s’élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au
souffle du Nord sur le tronc d’un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri
murmurait ! Le clocher solitaire s’élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes
regards ; souvent j’ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma
tête [...] Je sentais que je n’étais moi- même qu’un voyageur, mais une voix du ciel
semblait me dire : « Homme, la raison de ta migration n’est pas encore venue ; attends
que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions Inconnues que
ton coeur demande »

Nombre de phrases simples : ……………………………………………………………………
Nombre de phrases complexes : ………………………………………………………………..

V) Récrivez ce passage en reliant les propositions indépendantes.

Le soleil se lève. Tout l’équipage s’entasse dans des chaloupes. Les embarcations
rejoignent l’île. Les marins débarquent. Ils découvrent une plage de sable fin. Ils
s’enfoncent dans la jungle. Des cris de bêtes sauvages retentissent. Ils cueillent des fruits
multicolores. Ils les dévorent.


Répondre :

Réponse :

Explications :

I) Indiquez s’il s’agit de phrases simples ou complexes. Justifiez votre réponse.

Une phrase simple contient un seul verbe conjugué . PS

Une phrase complexe contient plusieurs verbes conjugués .PC

1. Sous les toits de Paris vivait un peintre dont le talent était inégalé. PC

2. Une passante suffit à détruire sa vie, à rendre fade, à tuer son coeur. PS

3. La passion dévorait notre peintre, il était méconnaissable. PC

II) Encadrez chaque proposition à l’aide de crochets puis indiquez leurs natures :

1. [Dimitri était subjugué] , [le simple souvenir de sa chevelure le rendait

fou]

- 2 propositions indépendantes juxtaposées ( = reliées entre elles parla virgule)

2.[Les reflets roux [qui s’en étaient échappés] avaient ensorcelé son

âme]

en italique : proposition principale

- en gras: proposition subordonnée relative , complément de l'antécédent "reflets roux"

3.[ Il était fou d’elle], [et elle ne le saurait jamais].

- 2 propositions indépendantes coordonnées ( = reliées entre elles par la conjonction de coordination "et")

4.[ Elle était sa muse] [mais il était désemparé face à son souvenir].

- 2 propositions indépendantes coordonnées (= reliées entre elles par la conjonction de coordination "mais")

5.[ Il maudissait ses mains] [dont les doigts étaient incapables de retranscrire sur une toile cette apparition].

- en italique : proposition principale

- en gras : proposition subordonnée relative , complément de l'antécédent "mains")

III) Transformez ce couple de phrases simples en phrases complexes en employant les trois moyens différents possibles.

Dépêche-toi de rentrer. Il est tard.

a. Dépêche - toi de rentrer , il est tard . (juxtaposées, reliées par la virgule)

b. Dépêche- toi de rentrer parce qu'il est tard.  (parce qu'il est tard : subordonnée )

c . Dépêche - toi de rentrer car il est tard .  (coordonnées , reliées par la conjonction de coordination "car")

IV) Soulignez les phrases simples et placez entre crochets les phrases complexes.

en gras : les phrases simples

soulignées : les  phrases complexes

Le jour, je m’égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts. Qu’il fallait peu de choses à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s’élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du Nord sur le tronc d’un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire s’élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j’ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête [...] Je sentais que je n’étais moi- même qu’un voyageur, mais une voix du ciel semblait me dire : « Homme, la raison de ta migration n’est pas encore venue ; attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions Inconnues que ton coeur demande »

Nombre de phrases simples : 2

Nombre de phrases complexes : 4

V) Récrivez ce passage en reliant les propositions indépendantes.

Le soleil se lève et tout l’équipage s’entasse dans des chaloupes. Les embarcations rejoignent l’île pour que les marins débarquent. Ils découvrent une plage de sable fin puis ils s’enfoncent dans la jungle des cris de bêtes sauvages retentissent. Ils cueillent des fruits multicolores et ils les dévorent.

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