et de sonorite dans
O Lisez à haute voix chaque extrait suivant. Observez
le rythme et expliquez comment il permet d'exprimer
le sentiment du poète.
Oh! ce piano, ce cher piano,
Qui jamais, jamais ne s'arrête,
Oh! Ce piano qui geint là-haut
Et qui s'entête sur ma tête
Jules Laforgue,
«Dimanches (II) »>,
Des Fleurs de
bonne volonté, 1885.
Les feuilles
Qu'on foule
Un train
Qui roule
La vie
S'écoule
Guillaume Apollinaire,
«Automne malade >>,
Alcools, 1913.
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