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Choisissez les formes qui correspondent au présent du conditionnel. Pour se venger de Géronte, Scapin invente une histoire... SCAPIN. - Votre fils, Monsieur, est en lieu de sû- reté'; mais vous courez maintenant, vous, le péril le plus grand du monde, et je (voudrai/voudrais) pour beaucoup que vous fussiez dans votre logis. > GÉRONTE. - Comment donc ? SCAPIN. À l'heure que je parle, on vous cherche de toutes parts pour vous tuer. GÉRONTE. - Moi? SCAPIN. Oui. [...] To GÉRONTE. - Ne (saurais/saurait/saurai)-tu trou- ver quelque moyen pour me tirer de peine? SCAPIN. - J'en imagine bien un; mais je (courrai / courrais/courais) risque, moi, de me faire assommer. GÉRONTE.-Eh! Scapin, montre-toi serviteur zélé; 15 ne m'abandonne pas, je te prie. SCAPIN. - Je le veux bien. J'ai une tendresse pour vous qui ne (saurai/saurait/saura) souffrir² que je vous laisse sans secours.

Les fourberies de Scapin de Molière ​


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Pour se venger de Géronte, Scapin invente une histoire...

SCAPIN. - Votre fils, Monsieur, est en lieu de sûreté'; mais vous courez maintenant, vous, le péril le plus grand du monde, et je voudrais pour beaucoup que vous fussiez dans votre logis. >

GÉRONTE. - Comment donc ? SCAPIN. À l'heure que je parle, on vous cherche de toutes parts pour vous tuer.

GÉRONTE. - Moi? SCAPIN. Oui. [...] To GÉRONTE. - Ne saurais-tu trou- ver quelque moyen pour me tirer de peine?

SCAPIN. - J'en imagine bien un; mais je courrais le risque, moi, de me faire assommer.

GÉRONTE. -Eh! Scapin, montre-toi serviteur zélé;  ne m'abandonne pas, je te prie.

SCAPIN. - Je le veux bien. J'ai une tendresse pour vous qui ne saurait souffrir² que je vous laisse sans secours.