Réponse :
Réponses à l'interrogatoire :
1/ Je m'appelle [nom], [prénom], j'ai [âge] ans, je résidais à [domicile] à Paris. Avant de me retrouver sans emploi, j'ai travaillé comme ouvrier dans une usine sidérurgique et un atelier textile.
2/ Même si la République a accordé des droits aux ouvriers, notamment avec la proclamation de la IIème République en février 1848, ces droits n'ont pas été maintenus. En effet, malgré l'inscription du droit au travail dans la Constitution et l'ouverture des Ateliers Nationaux, destinés à fournir du travail aux chômeurs, ces initiatives ont été abandonnées en juin 1848, aggravant ainsi notre situation.
3/ Je reproche à mes conditions de travail leur précarité et leur exploitation. Les ouvriers comme moi sont soumis à des journées de travail interminables dans des conditions dangereuses et insalubres. Nous sommes mal payés et nos efforts ne sont pas reconnus à leur juste valeur. De plus, la fermeture des Ateliers Nationaux a entraîné une aggravation du chômage et de la misère parmi les ouvriers parisiens.
4/ Ma colère envers les bourgeois provient de leur indifférence à notre sort. Ils profitent de notre travail sans se soucier de nos conditions de vie. Ils détiennent le pouvoir économique et politique, tout en maintenant notre classe dans la misère. Leur avidité et leur égoïsme sont responsables de notre exploitation et de notre malheur.
5/ Le Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels expose les idées d'une société sans classes, où les moyens de production seraient collectivement détenus et où l'exploitation de l'homme par l'homme serait abolie. Je suis d'accord avec ces idées car elles appellent à une société plus juste et égalitaire, où les ouvriers comme moi seraient traités avec dignité et recevraient leur part légitime des fruits de leur travail.
j'espere que j'ai pu t'aider !!
Explications :