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actions contez fants, nju- nez es le pays, et, comme des poches éventrées d'où le grain coule, avaient versé leur pluie aux terres arides. Beaucoup de feuilles, celles des hautes branches surtout, étaient tombées. Un parfum de forêt mouillée s'élevait vers le ciel calme et laiteux. Il ne faisait pas de brise; aucun oiseau ne chantait; la campagne semblait uniquement attentive aux dernières gouttes formées pendant la nuit et qui s'écrasaient au pied des arbres avec des vibrations de métal. RENÉ BAZIN, La Terre qui meurt, 1898.​

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