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2 Comprendre le texte Le narrateur et le cadre 1. À quelle personne le narrateur mène-t-il le récit? 2. a. Quels éléments constituent le cadre naturel de la scène ? Citez le texte. b. Relevez les termes qui montrent que la grotte est située en hauteur. Un récit d'apprentissage 3. Quelle interdiction le louveteau brave-t-il ? Aidez-vous du paratexte. 4. a. Relevez le vocabulaire de la peur. Par quoi l'animal est-il effrayé ? b. Comment cette peur se manifeste-t-elle dans son comportement ? Citez le texte. 5. Montrez, en vous appuyant sur les verbes de vue, que le louveteau porte un regard curieux sur le monde. pour Croc-Blanc de J. London. illustration 6. Pourquoi le louveteau tombe-t-il? Relevez les verbes de mouvement qui marquent les étapes de la chute (l. 16 à 37). 7. Relevez les termes qui traduisent les cris du louveteau. Dites quels sentiments ou émotions ils expriment. 8. Comment l'expérience vécue par le louveteau se termine-t-elle ? À qui le narrateur le compare- t-il ? Expliquez la comparaison. 9. Le louveteau s'était forcé un passage à travers la muraille du monde (l. 41 à 43) : comment com- prenez-vous l'expression la muraille du monde ? De quelle figure de style s'agit-il (→ Leçon 46, p. 326) ? ​

Répondre :

Réponse:

1. Le narrateur mène le récit à la première personne.

2. a. Le cadre naturel de la scène comprend des éléments tels que "les broussailles" et "la grotte sombre". b. Les termes indiquant que la grotte est en hauteur sont "d'aplomb sur l'abîme".

3. Le louveteau brave l'interdiction de sortir de la grotte, selon le paratexte.

4. a. Le vocabulaire de la peur comprend des termes tels que "tremblait" et "effroi". L'animal est effrayé par "l'abîme noir". b. La peur se manifeste par le fait qu'il "tremblait de tous ses membres".

5. Les verbes de vue, tels que "contemplait" et "scrutait", montrent que le louveteau observe le monde avec curiosité.

6. Le louveteau tombe parce qu'il "s'écarte du précipice". Les verbes de mouvement incluent "se précipiter" et "dévaler".

7. Les termes traduisant les cris du louveteau sont "hurlait" et "jappait", exprimant la peur et la détresse.

8. L'expérience du louveteau se termine par sa découverte du monde extérieur, et le narrateur le compare à "un petit Robinson". Cette comparaison souligne son exploration et son apprentissage.

9. L'expression "la muraille du monde" évoque les limites de la perception du louveteau. Il s'agit d'une hyperbole, une figure de style amplifiant la notion de frontière ou de barrière dans son expérience initiale du monde.