Dans "Le Dieu du carnage" de Yasmina Reza, Michel critique l'activité professionnelle d'Alain en la qualifiant de vide et insignifiante. Il exprime un certain mépris envers le métier d'Alain, le considérant comme superficiel et sans importance. Michel remet en question la valeur du travail d'Alain, soulignant un manque de considération pour les vraies priorités de la vie et critiquant la vacuité de son emploi.