Réponse :Je me promène dans la forêt, émerveillé par la beauté de la nature. Les arbres sont si grands, si verts, si majestueux. Ils forment une voûte qui me protège du soleil et du vent. J’entends le chant des oiseaux, le bruissement des feuilles, le murmure du ruisseau. Je respire l’air pur, chargé de parfums. Je marche sur un tapis de mousse, doux et moelleux. Je découvre des fleurs de toutes les couleurs, des champignons de toutes les formes, des insectes de toutes les tailles. Je m’arrête devant un lac, miroir de l’azur. Je vois se refléter les nuages, les montagnes, les étoiles. Je sens la fraîcheur de l’eau, la caresse de la brise, la chaleur de l’amour. Je suis heureux, je suis libre, je suis vivant.
Explications :
Dans ce texte, j’ai utilisé les figures de style suivantes :
L’énumération : “si grands, si verts, si majestueux”, “le chant des oiseaux, le bruissement des feuilles, le murmure du ruisseau”, “de toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les tailles”, “les nuages, les montagnes, les étoiles”, “la fraîcheur de l’eau, la caresse de la brise, la chaleur de l’amour”.
L’hyperbole : “ils forment une voûte qui me protège du soleil et du vent”, “je respire l’air pur, chargé de parfums”, “je marche sur un tapis de mousse, doux et moelleux”, “un lac, miroir de l’azur”, “je suis heureux, je suis libre, je suis vivant”.
Le chiasme : “je vois se refléter les nuages, les montagnes, les étoiles / je sens la fraîcheur de l’eau, la caresse de la brise, la chaleur de l’amour”.
La métaphore : “un lac, miroir de l’azur”, “la chaleur de l’amour”.
La personnification : “les arbres sont si majestueux”, “ils forment une voûte”, “le ruisseau murmure”.
L’allitération : “le bruissement des feuilles”, “la caresse de la brise”.
