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Bonjour
Ivan Ogareff épiait avec une anxiété visible son étrange adversaire. Cette immobilité de l’aveugle le glaçait.
Enfin, il fit un bond et porta en pleine poitrine un coup de son épée à Michel Strogoff. Un mouvement imperceptible du couteau de l’aveugle détourna le coup. Une sueur glacée coulait du front d’Ivan Ogareff. Il recula d’un pas, puis fonça de nouveau. Mais, pas plus que le premier, ce second coup ne porta. Une simple parade du large couteau avait suffi à faire dévier l’inutile épée du traître.
Celui-ci, fou de rage et de terreur en face de cette vivante statue, arrêta ses regards épouvantés sur les yeux tout grands ouverts de l’aveugle. Ces yeux, qui semblaient lire jusqu’au fond de son âme et qui ne voyaient pas, qui ne pouvaient pas voir, ces yeux opéraient sur lui une sorte d’effroyable fascination.
j'ai essayé de remettre le texte en ordre...
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