Répondre :
1. **Quel est le temps majoritairement employé dans ce récit ? Précisez sa valeur.**
- *Réponse incorrecte :* L'imparfait. Sa valeur est la description.
- *Correction :* L'imparfait est effectivement utilisé, mais sa valeur principale dans ce contexte est celle de la narration au passé. Il sert à décrire des actions ou des situations qui se déroulaient de manière continue dans le passé.
2. **Relevez le champ lexical de la peur.**
- *Réponse incorrecte :* terrifia, affolé, tremblant, livide.
- *Correction :* Les termes « terrifia », « affolé », « tremblant », et « livide » appartiennent au champ lexical de la peur, donc la réponse est correcte.
3. **Antigone semble-t-elle convaincue par l'argumentation de Créon ? Justifiez votre réponse.**
- *Réponse incorrecte :* Non, car elle répète exactement les mêmes mots que précédemment.
- *Correction :* La réponse est incorrecte. Antigone ne semble pas convaincue par l'argumentation de Créon, car elle persiste dans son refus d'obéir à ses ordres. La répétition des mots peut plutôt indiquer sa détermination et son opposition.
4. **Quel sentiment René éprouve-t-il pour Armance ? Justifiez votre réponse.**
- *Réponse incorrecte :* On voit que René est amoureux d'Armance.
- *Correction :* La réponse est correcte. Si le texte indique que René est amoureux d'Armance, cela justifie la réponse.
5. **Dans les lignes 18 à 23, relevez une comparaison et expliquez-la.**
- *Réponse incorrecte :* La comparaison « semblable à un cheval fou » dit que la mer ressemble à un cheval qui est fou.
- *Correction :* La réponse est correcte. La comparaison « semblable à un cheval fou » suggère que la mer agit avec une intensité et une force débridées, tout comme un cheval qui serait hors de contrôle.
Réponse:
**1.** La réponse est incorrecte car le temps majoritairement employé dans le récit est le **présent**. Le présent est utilisé pour décrire une action ou une situation qui se déroule au moment où l'on parle ou écrit. Dans le récit, le narrateur décrit les actions des personnages et les événements qui se déroulent. Il utilise donc le présent pour rendre le récit plus vivant et plus immersif.
**Correction :**
> Le temps majoritairement employé dans ce récit est le présent. Sa valeur est la description.
**2.** La réponse est incorrecte car le champ lexical de la peur est plus large que celui proposé. Le champ lexical de la peur comprend également des mots tels que :
> angoisse, crainte, effroi, peur, panique, terreur, tremblement, effroi, frayeur, indicible, insoutenable, terrifiant, etc.
**Correction :**
> Relevez le champ lexical de la peur.
>
> Exemples : terrifia, affolé, tremblant, livide, angoisse, crainte, effroi, peur, panique, terreur, tremblement, effroi, frayeur, indicible, insoutenable, terrifiant, etc.
**3.** La réponse est incorrecte car Antigone ne répète pas exactement les mêmes mots que précédemment. Elle affirme toujours qu'elle doit accomplir son devoir, mais elle ajoute qu'elle comprend les arguments de Créon. Elle est donc consciente des conséquences de son acte, mais elle est déterminée à le faire.
**Correction :**
> Antigone semble convaincue par l'argumentation de Créon, mais elle est toujours déterminée à accomplir son devoir.
**4.** La réponse est incorrecte car René éprouve à la fois de l'amour et de la haine pour Armance. Il est attiré par elle, mais il est également conscient de ses défauts. Il est donc tiraillé entre ses sentiments.
**Correction :**
> On voit que René éprouve à la fois de l'amour et de la haine pour Armance. Il est attiré par elle, mais il est également conscient de ses défauts. Il est donc tiraillé entre ses sentiments.
**5.** La comparaison « semblable à un cheval fou » est incorrecte car elle est trop vague. Elle ne dit pas exactement en quoi la mer ressemble à un cheval fou.
**Correction :**
> La comparaison « semblable à un cheval fou qui s'est échappé de son écurie » est plus précise. Elle dit que la mer est agitée et incontrôlable, comme un cheval qui s'est échappé de son écurie.
Voici une autre possibilité :
> La comparaison « semblable à un cheval fou qui galope sur la plage » est plus imagée. Elle dit que la mer est puissante et impétueuse, comme un cheval qui galope sur la plage.
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