Réponse:
La cloche annonçait la fin des cours, mais une tension palpable flottait dans l'air. J'avais observé, impuissant, un camarade être la cible de moqueries incessantes. La situation initiale était marquée par une stabilité apparente, mais elle cachait un climat toxique. Mon cœur battait plus fort à chaque insulte, chaque regard méprisant.
Les paroles acerbes résonnaient dans ma tête, créant un mélange de colère et de tristesse. La victime, isolée, portait le poids du harcèlement. Chacun de nous était un témoin silencieux de cette injustice. La classe, normalement un lieu d'apprentissage et d'amitié, devenait le théâtre d'une cruauté insidieuse.
Le harcèlement était une ombre menaçante qui assombrissait l'ambiance scolaire. On pouvait sentir la peur et l'insécurité grandir. La situation initiale, en apparence stable, était en réalité un terrain propice à l'hostilité.
Chaque jour, je ressentais un poids sur mes épaules, une culpabilité de ne pas intervenir plus fermement. La victime, tout comme moi, méritait un environnement sain. L'indifférence générale contribuait à la détérioration de notre bien-être collectif.
C'était un rappel brutal que le harcèlement ne devait pas être toléré. Les sentiments de frustration et d'impuissance étaient mon lot quotidien. J'aspirais à un changement, à briser le silence et restaurer une stabilité authentique basée sur le respect et l'empathie.
