Texte 1 Multiples sont, de vrai, les motifs que nous avons de protéger la nature. Et d'abord, en défendant la nature, l'homme défend l'homme : il satisfait à l'instinct de conservation de l'espèce. Les innombrables agressions dont il se rend coupable de dire - ne vont pas sans avoir des conséquences funestes pour sa santé et pour envers le milieu naturel - envers « l'environnement », comme on prend coutume intellectuel mais fort estimable, des biologistes, qui, soucieux de la nature pour elle- l'intégrité de son patrimoine héréditaire (...) Mais il y a, en outre, le point de vue, plus même, n'admettent pas que tant d'espèces vivantes - irremplaçable objet d'étude - par la faute de l'homme, le somptueux et fascinant Musée que la planète offrait à s'effacent de la faune et de la flore terrestres, et qu'ainsi, peu à peu, s'appauvrisse, nos curiosités. Enfin, il y a ceux-là - et ce sont les artistes, les poètes, et donc un peu tout le monde - qui simples amoureux de la nature, entendent la conserver parce qu'ils y voient un décor vivant et vivifiant, un lien maintenu avec la plénitude la pierraille et la ferraille, ils prennent le parti de l'arbre contre le béton, et ne se originelle, un refuge de paix et de vérité [...] parce que, dans un monde envahi par résignent pas à voir les printemps devenir silencieux... Jean Rostand, préface au livre d'Edmond Bonnefous, L'homme ou la nature, OHachette 1970. Dégage la problématique du texte ci-dessus à l'aide des indices se rapportant à chaque item.​