La Première Guerre mondiale, qui s'est déroulée de 1914 à 1918, a été marquée par des violences extrêmes perpétrées tant par les militaires que par les civils. Ces actes ont laissé des cicatrices profondes sur les sociétés impliquées et ont contribué à façonner le cours de l'histoire du XXe siècle.
Sur le front, les militaires ont été confrontés à des conditions de combat impitoyables. Les tranchées, symboles de cette guerre, étaient des lieux de souffrance extrême, où les soldats étaient exposés non seulement aux attaques ennemies, mais également aux maladies, aux privations et aux traumatismes psychologiques. Les tactiques de guerre, souvent peu adaptées aux nouvelles technologies telles que les mitrailleuses et les gaz toxiques, ont entraîné des pertes massives et ont contribué à perpétuer un cycle de violence.
Les civils n'ont pas été épargnés. Les bombardements aériens ont introduit un nouveau niveau de terreur dans la vie quotidienne, frappant des villes entières et provoquant des pertes civiles considérables. Les réquisitions forcées, les restrictions alimentaires et les déplacements de population ont également causé des souffrances importantes chez les civils, faisant d'eux des victimes indirectes du conflit.
L'utilisation de la propagande a exacerbé les tensions, alimentant la haine envers l'ennemi et justifiant des actes de violence extrême. Les atrocités commises par des soldats des deux côtés ont créé un climat de méfiance et de ressentiment qui a perduré bien après la fin de la guerre.
En somme, la Première Guerre mondiale a été le théâtre de violences inouïes, que ce soit sur le front avec les conditions de combat éprouvantes ou du côté des civils, victimes des stratégies de guerre et des représailles. Ces violences ont laissé des séquelles profondes dans la mémoire collective et ont eu des répercussions durables sur les sociétés impliquées, préparant malheureusement le terrain pour d'autres conflits à venir.
