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I-COMPREHENSION
1- Relève deux mots ou expressions du portrait physique qui montrent que cet enfant n'était pas comme les autres enfants.
- "il avait une tête si grosse"
- "il se trainait à quatre pattes"
2- Comment le narrateur montre-t-il dans le texte que ce qui arrive à l'enfant royal relève du destin?
- Dès le début du texte , l'auteur montre que ce qui arrive relève du destin : " Dieu a ses mystères que personne ne peut percer" . Signification : Dieu a décidé donc c'est comme cela .
- " Tu seras roi, tu n'y peux rien" : tu ne peux pas refuser, c'est écrit et tu seras roi .
- " Chaque homme trouve sa voie déjà tracée, il ne peut rien y changer" : chacun a son destin, et l 'homme ne peut pas changer le destin . C'est écrit .
3- Donne un autre titre au texte.
- Le drôle de Roi .
- Le destin et le Roi .
II-VOCABULAIRE
4- Par suffixation, trouve pour chacun des mots suivants:
a- Un nom de la même famille que lente s. : lenteur
b- Un adverbe de la même famille que difficiles, gourmand». : difficilement / gourmandement
5- Explique l'expression: « il n'avait rien de la grande beauté de son père. »
- Il n'avait pas la beauté de son père donc il ne lui ressemblait pas . Il était moins beau que son père .
6- Donne un paronyme de grande ». : gronde
III-GRAMMAIRE ET MANIEMENT DE LA LANGUE
7- Donne la nature et la fonction des mots soulignés dans le texte.
- grande : adj qualificatif , épithète du nom "beauté"
- quelqu'un : pronom indéfini, sujet du verbe "entrait"
- peu : adverbe de quantité ...
8- « Quand sa mère sortait, Il se traînait à quatre pattes pour fureter dans les calebasses à la recherche de nourriture. Quel est le rapport grammatical (juxtaposition, coordination, subordination) qui relie les deux propositions de cette phrase ?
- C'est la subordination , puisque les 2 propositions sont reliées par la conjonction de subordination "quand"
9- « il avait de gros yeux qu'il ouvrait tout grand quand quelqu'un entrait dans la case de sa mère. »
a-Fais l'analyse logique de la phrase ci-dessus.
- [Il avait de gros yeux ] [ qu'il ouvrait tout grand] [quand quelqu'un entrait dans la case de sa mère].
- "il avait de gros yeux" : proposition principale
- " qu'il ouvrait tout grand" : prop subordonnée relative , introduite par le pronom relatif "qu' " , complément de l'antécédent "yeux"
- "quand quelqu'un entrait dans la case de sa mère" : prop subordonnée conjonctive , introduite par la conjonction de subordination "quand" , cc de temps du verbe "ouvrait"
- b-En gardant le sens, réécris la phrase en évitant la seconde subordination
- Il avait de gros yeux qu'il ouvrait tout grand à l'entrée de quelqun dans la case de sa mère .
10- Il avait de gros yeux qu'il ouvrait tout grand > Remplace dans cette phrase le mot « tout» par un autre mot de même sens puis donne la nature de « tout »>.
- Il avait de gros yeux qu'il ouvrait très grand .
- tout : ici , c'est un adverbe
11- Il était très gourmand. » Réécris la phrase en conjuguant le verbe au passé simple et au passé antérieur du mode indicatif.
passé simple : Il fut très gourmand .
passé antérieur : Il eut été très gourmand .
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