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bonjour
Explications :
voici des éléments pour t'aider dans ton travail
1.Présentez l'auteur des lettres et précisez le contexte historique dans lequel elles ont été écrites.
L’auteur des lettres est Félix Delaurat, un poilu mobilisé de 1914/1918, lors de la Première Guerre Mondiale
2- Relevez des expressions qui évoquent l'intensité des combats.
-« des canons » - « nous avons déjà perdu près du quart de notre effectif par le bombardement »-« vrai enfer » -« des assassinats » -« le vacarme d'une guerre atroce » - «
3- Pourquoi les lettres de poilus sont-elles importantes pour comprendre la Grande Guerre ?
Ces lettres sont importantes car elles donnent une idée non édulcorée de ce que vivent les poilus au quotidien. Elles nous donnent aussi leur état d’esprit, leurs espoirs, leurs souffrances, leurs conditions de vie.
4- Montrez qu'au fil de ses courriers, l'état d'esprit de Félix Delaurat change au sujet de la guerre. Expliquez pourquoi.
Au début, il dit commencer à s’habituer à la situation « on finit par s'habituer à tout ». Puis tout devient rengaine malvenue « le fourbi « . « c’est toujours la même chose ». La tristesse gagne ces soldats « la tristesse s’empare de nous », il désespère , pense que leurs actions sont nulles, et se considère lui -même ainsi que ses camarades comme des martyrs déjà comme des « nos efforts sont nuls! Nous sommes des martyrs ! ». Ils se considèrent comme de la chair à canon « une bête traquée qu'on amène chaque jour à la boucherie. »
Il ne comprend plus rien à cette guerre, et pense que tout ce qu'il va arriver, c'est leur perte à tous et que leur rôle de fantassins est mise en avant, ce sont eux qui sont en première ligne et qui sont massacrés"c'est que la guerre ne finit pas et nous nous trouvons tous, nous les fantassins, toujours les plus touchés. "
5- En vous appuyant sur les documents et vos connaissances, décrivez les conditions de vie quotidienne du soldat et la violence qu'il subit.
- Violences de la guerre : sous des bombardements perpétuels, des assauts auxquels plusieurs de leurs camarades perdaient la vie
- Violences psychologiques : voir mourir leurs camarades sous leurs yeux, devoir rester à côté des cadavres parce qu’il était impossible de les évacuer tout de suite.
- Nourriture chiche : des conserves, des rations bien maigres, (viande en conserve, pain dur bol de soupe, pas de légumes et fruits frais)
- Les conditions météorologiques guère favorables (surtout à Verdun, région est, très froide à l’époque en hiver, pluvieuse à souhait), donc les tranchées étaient inondées les soldaient vivaient dans la boue, l’eau, la saleté qui s’accumulaient, ils cohabitaient avec les rats.
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