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Bonjour,
N'oublies pas la formule de politesse la prochaine fois ;)
<< Tous les dimanches, après la messe, on me lâchait dans le préau, à l'heure de la récréation. Là, je causais avec les détenus : il le fallait bien. Ils étaient bonnes gens, les misérables. Ils me contaient leur tour, ce serait à faire horreur, mais je savais qu'ils se vantaient. Ils m'apprenaient à parler argot, à rouscailler bigorne, comme ils disaient. >> Victor Hugo, Le Dernier jour d'un condamné, 1829
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