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Acte I, scene J
CHINE
Bleire to fait un rapport bien sincere?
Ne deguita rien de ce qu's dit mon
père
)
Tour mes ans à moi même en sont encor
charmés
Il etme Rodrigue autant que vou Tamez
Els je de mabuse a live dans son Ame
la commandera de répondre à sa flamme
CHIMENE
Die sol donc, je te prie, une seconde fois
Ce qui te fait juger qu'il approuve mon choix
Apprende moi de nouveau quel espoir jen dois
prendre
Un at charmant discours ne se peut trop entendre
Tu ne peux trop promettre aux feux de notre amour
La douce liberté de se montrer au jour
Que r'a-t-il répondu sur la secrète brigue
Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue?
N'as-tu point trop fait voir quelle inégalite
Entre ces deux amants me penche d'un côté
ELVIRE
Non, fai peint votre coeur dans une indifférence
Qui n'enfle d'aucun d'eux ni détruit l'espérance,
Et sans les voir d'un oeil trop sévère ou trop doux,
Attend l'ordre d'un père à choisir un époux.
Ce respect l'a ravi, sa bouche et son visage
M'en ont donné sur l'beure un digne témoignage,
E papil vom fest men faire v
Voici deux et de ma e quan ha
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Rodrigue surtout 's
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Qui d'un homine de conur ne so le
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Qu'ils y prennent
naissance
au milieu des l
La valeur de son père, en son temps
Tant qu'a duré sa force, a
passé pour
Ses rides sur son front ont
gravé se expl
Et nous disent encor ce qu'il fut
aut
Je me promets du fils ce
que fal vis du
Et ma fille, en un mot, peut l'aimes
et me pla
E
CHIMENE
Il semble toutefois que mon âme troublée
Refuse cette joie et s'en trouve
accablée
Un moment donne au
sort des visages da
Et dans ce grand bonheur je crains
un grand
Pierre Corneille
, Le Cid, acte Le1104
1. Sa femme
Brigtigt a
Me penche ai p
Que
7 Ass
y Maim fille
10 Lauries gi
11 Vig
aspects
Qu’apprend-on dans cette scène ?