Bonjour, pouvez-vous m’aider s’il vous plaît je galère.
Il faudrait faire un résumé pour les 5 étapes du schéma narratif. Donc c’est-à-dire un petit texte d’environ 5 à 10 lignes qui résume la situation initiale, l’élément perturbateur, les péripéties, l’élément de résolution et la situation finale dans l’histoire.
Voici l’histoire :
Ce soir-là, j'étais invité chez des amis à dîner. Au cours de la soirée nous en sommes venus à parler de ces phénomènes étranges que nous n'arrivons toujours pas à expliquer. Je leur ai alors, tout naturellement, raconté l'histoire qui m'a rendu aveugle.
Je la commençai ainsi :
« En ce temps-là, je venais de finir mes études de journalisme et j'avais décidé d'aller m'installer dans un petit village perdu de montagne pour m'isoler du monde extérieur et pour prendre du repos. J'avais pour seule compagnie une vieille gouvernante, que cette histoire a achevée. La maison, dans laquelle j'emménageai, était grande et comptait plusieurs chambres, mais, comme nous étions en plein hiver et qu'aucune n'avait été chauffée depuis longtemps, je décidais de m'installer dans la seule convenable où je déposer mes effets personnels, ainsi que mon canif qui ne me quittait jamais, seul souvenir de mon père.
Les anciens propriétaires y avaient laissé une vieille tapisserie bleue, pâlie par le temps, sur laquelle étaient représentés des centaines d'oiseaux blancs.
Je passais l'hiver à regarder la montagne, à observer les oiseaux et à lire au coin du feu. De temps en temps, je me rendais au village où j'avais fais la connaissance de Franck Delavoine, un grand passionné de la nature, tout comme moi. Je l'invitais régulièrement à prendre le thé chez moi et vice-versa.
Puis les beaux jours revinrent suivis de la chaleur et de longues balades. Mais tout a commencé quand quelqu'un a laissé la fenêtre ouverte.
Il s'agissait sûrement de ma gouvernante qui voulait aérer cette chambre qui sentait le renfermé. Je décidais de la laisser ouverte pour la nuit tant la chaleur était pesante. Je dormis très mal, pris de cauchemars et d'insomnies que je pensais alors liés à la chaleur. Le lendemain, en fin d'après midi, je rentrais chez moi épuisé de n'avoir pas dormi la veille et par cette journée de travail à avoir aidé Monsieur Delavoine à la traite de ces vaches, brebis et autres. J'en avais gardé sur moi une odeur nauséabonde. Je pris vite une douche et me mis à écrire une petite heure, puis je me couchais tôt sans manger. Cette nuit-là fut moins pénible que la précédente, pourtant je fus réveillé par ce qui semblait être des bruits d'oiseaux mais je n'y pris pas garde et me rendormis vite. Ce phénomène se reproduisit plusieurs fois mais je n'y prêtais toujours pas attention.
Pourtant un matin, une chose étrange se produisit. Il me sembla qu'un oiseau manquait sur la tapisserie mais je pris cela pour un simple effet d'optique, n'étant pas très bien réveillé. Je pensais à ces événements toute la journée, et le soir quand je rentrais chez moi, je me précipitais dans la chambre.
L'oiseau était là ! Il était revenu ! Comme par magie. Je fus rassuré et pensai que c'était le fruit de mon imagination. Je m'endormis paisiblement et n'eut pas d'insomnies ni de cauchemars cette nuit-là, ni les deux suivantes.
Mais le troisième matin, tout recommença, et cette fois deux oiseaux manquaient sur la tapisserie. Je décidais d'en parler à mon ami qui me répondit que je ne devais pas travailler si dur et que je devais penser à me reposer ce qui était mon but initial en m'installant ici. J'écoutais son conseil.
Mais, pas entièrement rassuré, j'abordais le sujet avec ma gouvernante, qui, un peu limitée - car oui, ne l'oublions pas, sans jugement de valeur, ce n'était qu'une gouvernante - me rétorqua la même chose que mon cher ami. Je partis me coucher. Malgré les conseils de mes proches, je n'étais pas rassuré.
Pour cause, le matin même, je retrouvais un oiseau mort derrière ma commode.
Je jetai la dépouille par la fenêtre et m'interrogeai sur toutes ces étranges phénomènes qui étaient en train de se produire. Ma gouvernante me conseilla de changer de chambre mais je me sentais comme attiré par cette pièce et par l'envie de découvrir ce qu'il s'y passait réellement. La nuit suivante fut une des pires de toute ma vie car, les cauchemars et les insomnies étaient de retour. En me levant, je découvris même plusieurs égratignures sur mes bras et mes jambes dont je n'arrivais à expliquer la provenance. Je demandai donc à ma gouvernante que nous échangions de chambres pour la nuit. A son réveil, je la questionnai sur sa nuit passée mais il ne s'était absolument rien passé d'après elle. Elle avait dormi paisiblement sans entendre aucun bruit étrange. La nuit suivante, je décidais de retourner dormir dans ma chambre où je fermais la fenêtre car une effroyable tempête se préparait.
Je mets la suite en pièce jointe, car je ne peux pas mettre plus de 5 000 caractères
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