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a. Repérez le passage au discours indirect libre. Reformulez-
le au discours direct.

Gervaise, blanchisseuse, et Coupeau, ouvrier zingueur, discutent dans un
débit de boissons, l'Assommoir. Ils observent les clients autour d'eux.
<< Oh! c'est vilain de boire ! » dit-elle à demi-voix. [...]
Coupeau, lui aussi, ne comprenait pas qu'on pût avaler
de pleins verres d'eau-de-vie. Une prune par-ci par-là, ça
n'était pas mauvais. Quant au vitriol, à l'absinthe et aux
autres cochonneries, bonsoir! il n'en fallait pas. Les cama-
rades avaient beau le blaguer, il restait à la porte, lorsque ces
cheulards'-là entraient à la mine à poivre². Le papa Coupeau,
qui était zingueur comme lui, s'était écrabouillé la tête sur le
pavé de la rue Coquenard, en tombant, un jour de ribote, de
la gouttière du n° 25; et ce souvenir, dans la famille, les rendait
tous sages. Lui, lorsqu'il passait rue Coquenard et qu'il voyait
la place, il aurait plutôt bu l'eau du ruisseau que d'avaler un
canon gratis chez le marchand de vin. Il conclut par cette
phrase:
« Dans notre métier, il faut des jambes solides. »


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